En route pour l'asile Aux Indes, où l'avion avec lequel il avait précipitamment quitté l'Egypte s'est écrasé dans la jungle, Tintin se voit confier par un médecin anglais le soin de mener à l'asile le plus proche un savant et un écrivain qui, après avoir été atteints de fléchettes empoisonnées au suc de radjaïdjah, ont perdu la raison. |
Une voiture fantôme La majestueuse décapotable pilotée par Tintin n'a apparemment jamais existé qu'à l'état de projet. En effet, la seule trace qui semble en subsister est un dessin publicitaire du début des années trente qu'Hergé et ses collaborateurs ont pratiquement reproduit tel quel. Il y a don de fortes chances pour que toute voiture de rêve qu'elle aurait pu être, la Lincoln torpédo grand sport carrossée par Saoutchik n'ait été qu'un rêve de voiture. . . D'origine russe, Jacques Saoutchik s'imposa en France, dans l'entre-deux guerres, comme le carossier des marques prestigieuses. C'est ainsi qu'il "habilla" notamment une splendide Delage D8-120 qu'à la libération, le Général de Gaulle prit grand plaisir à conduire. |
des Cigares du Pharaon est réalisé en métal à l'échelle traditionnelle du 1/43e. modèle réduit |
Longueur HT :115 mm | Largeur HT : 41 mm |
Voie : 37 mm | Empattement : 83 mm |
Conducteur : Tintin
Passagers : Milou, Siclone, Zlotzky Immatriculation : 125-1 Couleur : bleu-gris et bleu cyan Signe distinctif : 2 roues de secours |
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